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Livie Loves

8 avril 2010

Une semaine bien méritée

Bonjour !!

Je pars en vacances pour une semaine ! La première depuis très longtemps, donc j'ai bien l'intention d'en profiter, et je laisse le net comme un monde de volupté derrière moi, que je serais heureuse et impatiente de retrouver dès mon retour !

Malheureusement ces vacances impliquent que la suite de cette caresse humide que certains attendent avec impatience se voit repoussée de quelques jours encore. Mais n'oubliez pas, amis coquins, plus c'est long, plus c'est bon !

Et pour vous faire patienter, je ne vous laisse pas sans rien.

Un peu de musique et du rêve pour une semaine !

Sweet kisses

Livie

Je ne suis qu'une sainte poupée
Un peu trop sage
La tête haute, la poitrine bombée
Mais j'ai pas l'âge

Je rêve d'être une simple poupée
Un peu volage
Et sous ma robe, des portes-jarretelles
Adeptes du dérapage

J'men fou, j'irai danser
Seule ou accompagnée
Seule ou accompagnée
Seule ou accompagnée
Seule ou accompagnée

Tu me tues insolente poupée
Hurle l'orage
La porte claque
La Mustang démarré
Tu cris de rage

J'men fou, j'irai t'chercher
Seul Ou Accompagné
Seul Ou Accompagné
Seul Ou Accompagné
Seul ou ...

Non rien ne pourra me raisonner
Tu es en âge
Gémissant dans un chambre encerclée
Prise en otage
Moi et mon coupe-coupe à cran d'arrêt
A l'abordage!
Couper la gorge à ces minets
Un peu trop barges

j'irai t'chercher
Seul Ou Accompagné
Seul Ou Accompagné

Love You
Seul Ou Accompagné
Seul Ou Accompagné

BB Brune ~ seul ou accompagné

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31 mars 2010

Caresse d'une source (2)

Ici dans les montagnes, la neige n'est pas près de fondre et à mes oreilles ne parviennent que le silence de la forêt, et le bruit des chutes d'eau en cascades, aval et amont. De temps en temps, une branche craque, un tas de neige s'effondre du haut d'un arbre.
Seule, à ne penser qu'à moi pendant que j'attends sans être sure de trouver quelqu'un, mes mains en viennent à effleurer la peau de mon cou, à la frontière entre l'air et l'eau.
Une feuille rescapée de l'automne dévale les bassins, passant quelques secondes à chatouiller mon dos avant de reprendre sa course. Je frissonne.

Alors mes mains reprennent leur exploration. Celle que j'avais sur le cou descend jusqu'à ma poitrine, pour aller jouer avec la pointe durcie de mon mamelon, en faisant le tour de ses formes, tantôt lointaine, tantôt proche. Câline et joueuse, elle alterne les styles.
La seconde, plus directe, caresse mon ventre, la lisière de mon string qui forme un reflet rouge à la surface de l'eau, et menace parfois d'en franchir la ligne.

Mes joues rosissent avec le désir qui pointe le bout de son nez (à moins que ce ne soit le froid ?).
Mes yeux se ferment, et le jeu continue.

Peu à peu, la chaleur du bain se propage à mon corps et mon cœur. Me tête repose lascivement contre la roche, je gémis en pinçant un peu plus fort un de mes tétons.
J'ai cruellement envie de toi, mais quand viendras-tu ?

A cette pensée inavouée, un doigt parvient enfin à passer sous le tissu qui cache mes secrets et parcoure le peu de chemin qui lui reste pour découvrir les pétales de ma fleur, et l'ouvrir à mes caresses.

La chaleur devient feu, mon ventre se contracte et je me mord doucement la lèvre inférieure.

Livie

29 mars 2010

Caresse d'une source (1)

Mon regard se pose autour de moi. Il a encore neigé la nuit dernière, et la neige fraîche alourdi les branches des sapins. La forêt est silencieuse, le soleil se couche derrière le col de l'ours. Les derniers résistants parmi les nuages se colorent de rose. J'aime ce paysage calme et reposant.

Je ne regrette pas d'avoir marché une demi-heure dans la poudreuse pour atteindre la source. J'ôte un gant, et je plonge ma main dans l'eau bouillante. Le contraste est saisissant ! J'en soupire d'aise, c'est si bon !
Je redescend un peu, retrouvant ce bassin naturel formé dans la roche et dans lequel l'eau est juste assez chaude pour fumer.

Je dépose mon sac, et j'enlève à la hâte toutes mes couches de vêtements. Lorsque le piquant de l'air froid faire durcir la pointe de mes seins et frissonner ma peau, je serais presque tentée de me plonger directement dans la douceur du bain !
Je délace mes boots, et je me glisse hors de mon pantalon, dévoilant un string rouge que j'ai déjà prévu de garder.

Si la neige récente décourage bien des amateurs (sans parler des touristes !), j'ose espérer que Davian, lui, honorera mon invitation ...

Pieds nus dans la neige, je me dépêche d'en poser le premier dans l'eau, cherchant le contact lisse et glissant de la pierre, dans le fond. Je me retiens à la paroi et le second suit, avant de me plonger avec délice jusqu'au cou dans l'eau chaude...
Je ferme les yeux, et je savoure avec délice sa caresse, créée par le courant. En me décalant à peine sur la gauche, j'ai le filet qui coule du bassin supérieur.
Une eau plus chaude encore, vaporeuse.

Je me demande quel effet lui ont fait les quelques mots griffonnés discrètement sur la page de son agenda. L'idée m'est venue hier soir, alors que nous travaillions sur la partie commune de notre mémoire, à grelotter sous la couette. J'ai eu cette soudaine envie de volupté, alors que l'atmosphère prêtait plus aux études qu'aux câlins.

En attendant mon Dom Juan, mon esprit s'évapore, en même temps que le reste...

Livie

7 mars 2010

jetées en vrac

Quelques images sorties du placard et jetée en vrac ....

lanc__d_image2

26 février 2010

petite goutte d'eau ...

dans_un__crin

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25 février 2010

Réflexion

Il n'y a pas si longtemps, en discutant érotisme (entre autre) avec un ami, il m'a dit en rigolant "Mais enfin Livie, tu réalises que je pourrais être ton père ?!!"
Sur le moment, je crois que j'en ai rougit jusqu'aux oreilles ! En lui envoyant de "Sweet Kisses" (en "presque" toute innocence ), cette idée ne m'avait même pas effleurée l'esprit !

mais en y réfléchissant ....


Non, ô grand jamais, je coucherais avec mon père ! qui a pensé cette idée saugrenue ?? LooL



Mais après tout, que signifie l'âge ?

Des qualités à part qui nous définissent ? L'impatience de la vingtaine, le sex-appeal de la trentaine, la maturité de la quarantaine, les doigts experts de la cinquantaine et tous les atouts que j'ignore encore chez les séniors !

Finalement, tant qu'il atteint sa maturité sexuelle, tout individu, à sa façon si particulière, grâce à ce qui fait qu'il est lui et pas un autre, peut offrir plaisirs et frissons, quelle que soit sa personnalité, que son sexe soit fort, ou faible, qu'il soit homo ou hétéro, et quel que soit ... son age !

Alors si un jour l'opportunité m'offre une rencontre inattendue, et bien je la prendrais sans remord !


A toi mon ami qui m'a permit cette réflexion,
je t'envoie tous mes baisers !

XXX et XXL !

21 février 2010

Le jour où j'ai réalisé mon rêve

Ce matin là, Elle est arrivée sans prévenir. Elle a su me trouver, Elle a su venir à moi. Ce matin là, Elle a sonné à ma porte, je l’ai ouverte et je suis resté bête.

C’était la première fois que je La voyais. Le première en dehors des photos qu’on avait pu s’échanger, en dehors d’une webcam de plutôt mauvaise qualité. Elle m’a sourit, et Elle m’a regardé. Oh ! ce regard … ce regard que j’aime tant et qui m’ensorcelait déjà au travers de la caméra. Ce regard à l’intensité renouvelée par la nouveauté, ces deux yeux bleus comme l’azur, qui m’emmenèrent aussitôt voguer à l’autre bout du monde au gré des alizés.

« Je ne te dérange pas ? »

Le son de sa voix,  très banal en vérité, me sortit de mes pensées, mais me fit également réaliser que je ne rêvais pas ! Elle était bien là.

Je la fis entrer, en silence, encore béat de la trouver là, chez moi. Chez moi …

Je fus gêné par le désordre qui régnait et aussitôt, m’en excusai. Elle rit, et entama la conversation, m’expliquant que si je voyais son chez elle, Elle serait bien embétée.

 

C’est bête … Toutes ces heures où on parlait, toutes ces choses échangée, jusqu’à des textes osés, et là, le blanc qui s’installait.

A dire vrai, la seule chose que je souhaitais, c’était pouvoir la prendre dans mes bras, mais l’idée même de ce contact m’effrayait. Je n’osais…

Pourtant … qu’Elle illuminait mon salon, avec son jean blanc, galbant ses cuisses et ses fesses, avec sa petite veste de tailleur noire, cintrée, dévoilant la finesse de sa taille et sa cascade de cheveux d’or qui coulait sur ses épaules et le long de son dos.

Tellement plus belle, tellement plus vraie.

Est-ce qu’un geste de trop vers Elle pouvait briser cet instant magique ?

Je levai mes yeux vers son visage et y découvris le même embarras. Cependant, Elle ne se détourna pas, et au contraire, Elle plongea son regard brillant dans le mien et se fut à cet instant que je pris ma décision. Il n’y avait plus aucune équivoque.

 

Je m’approchai d’Elle et ma main, tremblante, hésitante, alla caresser sa joue, douce, rosée.

A cette distance, je découvris le maquillage discret qui accentuait la beauté de ses yeux, et le rouge de ses lèvres, ni trop fines, ni trop pulpeuse … parfaites.

Lèvres que j’embrassais à présent, tandis qu’elle passait ses mains dans mon dos, répondant à mon baiser.

De sa joue, j’allai mêler mes doigts dans sa chevelure, douce, épaisse, légèrement ondulée, chatoyante … je n’ai jamais su trouver les mots pour la qualifier.

Je la serrais dans mes bras, renouvelant sans cesse mes baisers et en moi, je sentis le désir s’éveiller, fort, impulsif, faisant bouillir mes veines et battre mon cœur pour cette femme, cette femme que j’aimais depuis le début et que je découvrais pour la première fois…

 

Je me souvenais de notre première nuit comme si c’était hier. Alors, je ne connaissais ni sa voix, ni son visage, juste une façon d’être et de réagir lorsque nous parlions sur msn. Cette nuit que nous avions passés à rire de tout et de rien, de cul, surtout !!!

Nous nous sommes beaucoup dévoilés cette nuit là. C’était facile, nous ne nous connaissions pas.

Là, je La tenais dans mes bras, dans cette proximité dont j’avais tant rêvé.

 

Elle entrouvrit ses lèvres et notre baiser se fit plus passionné.

Après en avoir défait les boutons, j’écartai les pans de sa veste et glissai mes doigts sous sa tunique, longue mais légère, noire et brodée de motifs blancs. La douceur de sa peau me surprit et mit mes sens en émoi.

De mon autre main, je finis d’ôter sa veste, la posant sur la première chaise que je trouvai.

Elle me sourit, taquine et vint jouer avec ma patience, approchant son visage du mien jusqu’à ce que nos bouches se frôlent et reculant chaque fois que j’avançais pour l’embrasser. Mais lorsqu’Elle se trouva dos au mur, je pris ses lèvres, intensément. Je les ai goûtées jusqu’à étancher cette soif infinie qu’Elle avait provoqué en moi. Je La plaquai contre le mur, prenant sa main dans la mienne, entremêlant nos doigts et l’embrassant jusqu’à plus soif. Ses lèvres sucrées, ses joues, ses pommettes, son cou, le creux de ses épaules… Son parfum m’enivrait, ajoutant toujours plus à ce désir que j’avais pour Elle.

Sans même que je m’en rende compte, Elle avait ôté ma chemise et j’entrepris donc de relever sa tunique, doucement, en prenant mon temps, savourant avec délice la découverte de son corps, de son ventre plat, du bijou qu’Elle portait au nombril, sa taille, l’absence de soutien-gorge, et ses seins fermes, pleins de jeunesse. Mon Dieu qu’Elle était belle !

Elle leva les bras et je terminai d’enlever le vêtement, embrassant sa poitrine tendue vers moi, provocante, au passage. Elle frissonna. Je ne sus jamais si ce fut de froid ou de plaisir, mais je continuai mon exploration, La conduisant petit à petit jusqu’au canapé, où je L’allongeai, tendrement..

Je La regardai, à demi-nue, totalement offerte, les bras tendus vers moi pour que je La rejoigne et je fus prit d’une soudaine envie de lui arracher ce qui La couvrait encore et de La faire mienne dans l’instant. Je ne sais comment, mais je réussis à contenir mes instincts.

 

Cela dit, je me baissai vers Elle et tandis que je couvrais le bas de son ventre de mes baisers, je défis la fermeture de son jean et je le fis glisser, avec sa culotte, dénudant son pubis, ses cuisses, ses jambes, puis ses chevilles.

Lorsque mes yeux parcoururent enfin l’intégralité de son corps nu, je découvris que ses joues s’étaient empourprées et qu’elle se mordait la lèvre inférieure. Cette timidité soudaine me fit fondre et je lui offris mon sourire le plus enjôleur avant de m’allonger contre Elle, repoussant d’une caresse une mèche de ses cheveux et plongeant mon regard dans ses yeux magnifiques.

« Ma princesse … »

Je ne pus continuer ma phrase, car Elle m’embrassa. Ce baiser me rassura et ma main alla caresser les courbures de ses hanches, le creux de sa taille et les formes qu’offraient sa poitrine avant de redescendre jusqu’à ses fesses rebondies. Je sentais ses muscles se contracter de plaisir sous mes caresses et cela me rendait fou. Au fur et à mesure que mon excitation grandissait, mes réflexes typiquement masculins revenaient. Je dirigeai ma main jusqu’à sa féminité, La caressant doucement, découvrant avec plaisir la naissance de son propre désir dans la moiteur de ses chairs. J’entendis sa respiration devenir plus fort, et je crus percevoir un imperceptible gémissement. Alors qu’Elle même libera mon sexe de l’étroitesse de mes sous-vêtements, elle écarta légèrement les cuisses, engageante, me permettant des caresses plus en profondeur…

 

Ce fut à ce moment là que tout commença à se confondre dans mon esprit. Le concret devint abstrait et l’abstrait … très concret ! Seuls trois éléments m’apparaissaient clairement : mon désir brûlant, les tourbillon de plaisirs qui m’emportaient loin de tout et Elle … Elle que j’aimais, Elle que je voulais garder près de moi pour l’éternité.

Ce matin là, nous fîmes l’amour comme cela ne m’était jamais arrivé, avec une extrême tendresse mélangée à une douce folie. Une union bien plus réelle que le mariage le plus sacré.


Livie

18 février 2010

Mon coeur, ma tête et mes couilles ...

Le corps humain est un royaume ou chaque organe veut être le roi
Il y a chez l'homme 3 leaders qui essayent d'imposer leur loi
Cette lutte permanente est la plus grosse source d'embrouille
Elle oppose depuis toujours la tête, le coeur et les couilles
Que les demoiselles nous excusent si on fait des trucs chelous
Si un jour on est des agneaux et qu'le lendemain on est des loups
C'est à cause de c'combat qui s'agite dans notre corps
La tête, le coeur, les couilles discutent mais ils sont jamais d'accords
Mon coeur est une vraie éponge, toujours prêt à s'ouvrir
Mais ma tête est un soldat qui s'laisse rarement attendrir
Mes couilles sont motivées, elles aimeraient bien pé-cho cette brune
Mais y'en a une qui veut pas, putain ma tête me casse les burnes
Ma tête a dit a mon coeur qu'elle s'en battait les couilles
Si mes couilles avaient mal au coeur et qu'ça créait des embrouilles
Mais mes couilles ont entendu et disent à ma tête qu'elle a pas d'coeur
Et comme mon coeur n'a pas d'couilles, ma tête n'est pas prête d'avoir peur
Moi mes couilles sont têtes en l'air et ont un coeur d'artichot
Et quand mon coeur perd la tête, mes couilles restent bien au chaud
Et si ma tête part en couilles, pour mon coeur c'est la défaite
J'connais cette histoire par coeur, elle n'a ni queue ni tête
Moi les femmes j'les crains, autant qu'je suis fou d'elles
Vous comprenez maintenant pourquoi chez moi c'est un sacré bordel
J'ai pas trouvé la solution, ça fait un moment qu'je fouille
Je resterais sous l'contrôle d'ma tête, mon coeur et mes couilles...

Grand Corps Malade


15 février 2010

Fusion Jumellaire (2)

Fusion_Jumellaire_2


Ma respiration s’accélère, mon esprit ne comprend pas ce qui lui arrive. Est-ce que je suis en train de fantasmer sur cet homme ? Il passe la main dans la chevelure blonde, douce et longue de sa partenaire, je laisse partir ma tête en arrière de plaisir, il a des gestes si doux…

Je lui offre mes lèvres, je sens l’appui sucré de ses baisers. Il allonge lentement, avec précaution, ma sœur sur le lit, je peux ressentir le plaisir envahir son corps, je le sens envahir le mien également, mais je distingue parfaitement les deux. Je décide de me laisser aller à l’expérience…

 

S’offrir le plaisir par l’imagination…

 

Je ferme les yeux. Je sens toujours les caresses de Jérôme dans mes cheveux, sur mes joues, mon visage. Ne le retenant plus, l’incendie inonde désormais mon ventre.

Jusqu’à ce que je sente un intrus entre mes cuisses, qui remonte vers ma féminité. Je sursaute, réouvre les yeux. Je ne vois rien, mais je le sens toujours, avançant irrémédiablement vers son but. Je lève les yeux vers la chambre, le lit. Cécile est nue maintenant, cambrée par le supplice d’un plaisir intense qui part visiblement de son intimité. Entre ses cuisses, Jérôme embrasse son ventre et ses doigt viennent de découvrir l’antre dédié à l’amour de ma sœur. J’ai envie de crier, je me retiens. J’avais les yeux fermés, jamais mon esprit n’aurait pu imaginer ces sensations avec un tel réalisme… Je me noie dans ma peur, cet intrus fantôme s’insinue entre mes chairs pendant que Jérôme va toujours plus loin avec Cécile. « Repousse-le Cécile, retiens-le, je t’en supplie, ne le laisse pas faire ça ! » N’ayant que faire de mes prières intérieures, Cécile au contraire le désire toujours plus en elle, et c’est avec un gémissement de soulagement qu’elle l’accueille sans la moindre retenue…

 

En moi se mêle crainte, désir, larmes, plaisir et frustration. Ma peau devient sensible, Enormément sensible. Rien que les caresses sur mon bras nu des tissus qui m’entourent ravivent mon désir.

J’ai en moi mon corps qui crie STOP ! et le ressenti de Cécile qui en réclame toujours plus ! Les amant s’embrassent, se caressent, font l’amour et je me noie dans un flot d’émotions contradictoires et sulfureuses.

 

Je ne peux plus les lâcher des yeux. Quitte à devoir subir, j’ai besoin de mettre une image sur ce qui me touche, sur mes spasmes irréguliers et de plus en plus fréquents. J’ai besoin de savoir pourquoi soudain mon cœur bat plus fort, pourquoi ma respiration devient rauque.

Et ce que j’appréhendais le plus arriva lorsque je m’y attendais le moins.

Mon corps est soudainement parcourut de part et d’autres d’une onde de jouissance, je me contracte et dans un soupir je n’arrive pas à retenir un gémissement (qui heureusement passe inaperçu pour les amants).

Je remarque seulement que j’avais inconsciemment glissé mes doigts sous ma jupe, repoussant mes sous-vêtements afin de donner une dimension physique et réaliste à cette situation extraordinaire, qui échappe à tout contrôle. Ma main, mouillée de cyprine, continue à soulager doucement la tension accumulée dans mon corps, par des caresses ciblées, efficaces.

Cécile et Jérôme ne bougent plus, ils sont enlacés l’un dans l’autre, détendus, prêts à s’endormir.

Je ferme les yeux et petit à petit sombre également dans le sommeil. Dès que j’en aurais l’occasion, je quitterais la chambre de Cécile….

 

 

 

…. De ma sœur jumelle.

Livie

14 février 2010

Bonne fête aux amoureux !

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